@mastersthesis {890, title = {La femme ant{\'e}rieure suivi de Taxidermie litt{\'e}raire}, volume = {D{\'e}partement des litt{\'e}ratures de langue fran{\c c}aise}, year = {2017}, school = {Universit{\'e} de Montr{\'e}al}, type = {M{\'e}moire}, address = {Montr{\'e}al}, abstract = {

{\OE}uvre : La femme ant{\'e}rieure Le r{\'e}cit suit l\’{\'e}volution d\’un deuil sur une ann{\'e}e. Des moments pr{\'e}c{\'e}dents la mort de sa m{\`e}re aux fun{\'e}railles d\’une autre femme de la famille, la narratrice d{\'e}pouille sa m{\'e}moire pour tenter de d{\'e}partager les souvenirs r{\'e}els de ceux qui auraient pu {\^e}tre manipul{\'e}s par le discours maternel. Essai : Taxidermie litt{\'e}raire Par l\’analyse d\’Une femme d\’Annie Ernaux et de La femme qui fuit d\’Ana{\"\i}s Barbeau-Lavalette, l\’essai propose le concept de taxidermie litt{\'e}raire. Cette d{\'e}finition formelle permettrait d\’aborder une certaine cat{\'e}gorie d\’{\'e}crits du deuil comme {\'e}tant des portraits vivaces ayant pour but de fixer l\’identit{\'e} du d{\'e}funt par le texte. Par l\’analyse d\’autres pratiques d\’interpr{\'e}tation du deuil et du corps d{\'e}c{\'e}d{\'e}, l\’essai convoque le travail du philosophe fran{\c c}ais Jacques Derrida sur le don/pardon, pour mettre en lumi{\`e}re le processus d\’{\'e}criture menant aux textes qui pourraient tomb{\'e}s sous la d{\'e}finition de taxidermie litt{\'e}raire.

Source : Papyrus

}, keywords = {ana{\"\i}s barbeau-lavalette, annie ernaux, autobiographie, cr{\'e}ation, deuil, {\'e}crits biographiques, essai, jacques derrida, m{\`e}re, taxidermie}, author = {Emilie Maltais}, editor = {Catherine Mavrikakis} }