Dans ses recherches actuelles, Jill Didur se penche sur les relations discursives et matérielles entre les pratiques de collecte de plantes et les mémoires des botanistes coloniaux en Asie du Sud. Elle s’intéresse aussi à l'écriture contemporaine postcoloniale de l'Himalaya, de même qu’à l’imaginaire du jardinage alpin et des jardins de rocaille.