Mémoires et thèses

Juste une fois suivi de Pourquoi écrire en français au Québec?

×

Message d'erreur

Warning : Illegal offset type dans drupal_add_js() (ligne 4210 dans /var/aegir/platforms/drupal-7-2013.11.27-dev/includes/common.inc).
×

Message d'état

  • Active context: noeud_biblio_bibliographie
  • Active context: noeud_biblio_documents
  • Active context: biblio_pas_issue_de_memoire_these
Retour
TitreJuste une fois suivi de Pourquoi écrire en français au Québec?
Type de publicationThèse ou mémoire
Année de publication2012
Auteur·e·sYvan Duperré
Supervision de rechercheAndré Carpentier
Département d'études littéraires
Nombre de pages153
Date Published12/2012
UniversitéUniversité du Québec à Montréal
VilleMontréal
Type de travailMémoire
DiplômeMaîtrise en études littéraires
Mots-cléscréation littéraire, écrire, éthique, français, Québec, roman québécois
Résumé

Vous trouverez, ci-dessous, le résumé de la première partie du roman qui s'intitule Juste une fois : une rencontre entre une histoire baroque aux nombreux personnages et un conte urbain animalier. Un 24 juin, François Beauprey s'élance dans son deltaplane du haut de la chute Montmorency. Dans son élan, cet ancien coopérant volontaire va se rappeler quand il était rentré à Montréal désabusé de son dernier projet humanitaire avec sa nouvelle femme, Claire Saïd, une Arabe chrétienne d'origine israélienne à la recherche de son père d'origine juive. C'est aussi l'histoire de son fils Rock et de son père Roméo Beaupré, un ancien père franciscain. Un conflit intergénérationnel entre fils et pères. La deuxième partie de ce mémoire est un essai sur les éléments fondateurs de ma future posture d'écrivain intitulé : Pourquoi écrire en français au Québec? Apprendre à écrire? Pourquoi écrire? Écrire un roman? Écrire au « je » ou au « il ». Qu'en est-il de l'éthique, de la morale dans l'art romanesque aujourd'hui au Québec, pour nous qui appartenons à une nation francophone minoritaire en Amérique du Nord et qui sommes tout au plus une grande tribu entre le Chiapas et le Nunavut? Pourquoi espérer publier un roman pour des lecteurs de plus en plus analphabètes, qui parlent presque français dans le meilleur des cas, ou un dialecte typique le plus souvent, au moment où nous passons de la culture livresque à la culture de l'image et du numérique?

URLhttp://www.archipel.uqam.ca/5522/1/M12911.pdf
Supervision de recherche: