Dans une œuvre de fiction, la tension est créée, en partie, par la façon dont les mots concrets sont reliés entre eux pour constituer la trame visible de l’action. Mais il y a aussi les choses non dites, les choses qui restent entre les lignes, le paysage que l’on sent affleurer sous la surface lisse (ou quelque fois heurtée et irrégulière) des objets visibles. p. 35-36