Mémoires et thèses

Avoir des bibittes dans son traîneau suivi de Suivre à la trace trois « animots » du bestiaire de Jacques Derrida

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TitreAvoir des bibittes dans son traîneau suivi de Suivre à la trace trois « animots » du bestiaire de Jacques Derrida
Type de publicationThèse ou mémoire
Année de publication2006
Auteur·e·sVincent Royer
Supervision de rechercheCatherine Mavrikakis, Ginette Michaud
Département des littératures de langue française
UniversitéUniversité de Montréal
VilleMontréal
Type de travailMémoire
DiplômeMaîtrise en littératures de langue française
Mots-cléscontes, demi-deuil, fourmis, insectes, littérature, objets, philosophie, vers à soie
Résumé
Avoir des bibittes dans son traîneau. L’oeuvre a la forme d’un recueil de contes où chacun des narrateurs est un objet qui raconte ce qui lui arrive à partir de son point de vue. Tout en appartenant au monde des humains, ces objets font à tour de rôle la rencontre d’un insecte. Les contes se résument ainsi : un porte-bonheur raconte l’histoire d’un être humain qui se métamorphose en automobile et qui est obsédé par la stridulation d’un grillon ; victime d’un complot, une moustiquaire est accusée d’être l’amante d’un perce-oreille ; au centre d’un jardin zoologique, un thermomètre devient le refuge d’une mouche qui y pond ses oeufs finalement, un ordinateur se fait piquer par un moustique avant d’être sacrifié au nom du progrès. Suivre à la trace trois « animots » du bestiaire de Jacques Derrida. La ligne que suit cet essai se situe à la croisée des deux formes contradictoires du verbe latin inseco. La première forme signifie couper, tailler, tandis que la deuxième signifie raconter, enchaîner. Cette contradiction, à l’origine du mot insecte, justifie le choix des figures animales puisqu’elle est inhérente dans les textes où figurent les fourmis (« Fourmis »), le ver à soie (« Un ver à soie ») et le demi-deuil (« Circonfession »). Cet essai tourne donc autour des endroits où il y a une coupure-non-coupure dans la langue de Derrida, c’est-à-dire là où ces trois textes parlent de l’inseco entre les animaux et les êtres humains, entre l’homme et la femme, entre voir et savoir.
 
Source : Papyrus
URLhttps://papyrus.bib.umontreal.ca/xmlui/bitstream/handle/1866/18224/Royer_Vincent_2006_memoire.pdf?sequence=1&isAllowed=y
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